Enfin la vérité sur les contes de fées

Découvertes

ISBN: 978-2-84263-130-7

Genre: Littérature générale

Date de parution: 05/01/2007

Nombre de pages: 192

Couverture : Alice Charbin

Prix: 15€

Exemplaire du tirage de tête: 60€

Préface de: Nicolas Rey

Enfin la vérité sur les contes de fées

Découvertes

Pour Marion, il y a le travail, les fêtes et les amis. Il y a aussi ses deux candidats au titre de prince charmant. Mais elle ne veut plus croire aux contes de fées, les princes charmants lui en ont trop fait baver.

Résumé :

"Que fait un personnage quand il est hors champ ?" À cette question, le cinéaste Lucas Belvaux a répondu en 2003 par une rafale de trois polars, de trois points de vue distincts, sur une même histoire. Que fait une héroïne quand elle est hors plume ? Ou en contre-plume comme il y a un contrechamp ? C’est la question que pose Murielle Renault dans Enfin la vérité sur les contes de fées. Soit un roman, Treize minutes, de Nicolas Rey. Soit les personnages : Simon, Antoine, Marion, etc. Soit leur histoire commune : Simon qui voit déferler Marion dans l’appartement qu’il occupe avec Alban et Théo ; la recomposition sentimentale qu’elle y génère ; les dérives qu’ils y vivent. L’auteur s’invite dans le récit comme Marion dans l’appartement. L’histoire est semblable mais l’angle de visée, le regard, différent. C’est Marion qui raconte, non plus Simon. Plus qu’un changement d’optique narrative, c’est une autre chimie passionnelle qui s’élabore, un autre corps qui témoigne, jouit et souffre, une autre mentalité qui décrypte les événements. Petite révolution copernicienne à l’usage de la jeune génération : Murielle Renault.

Avant-propos de Nicolas Rey (extrait) :
"Murielle Renault a choisi le cadre de Treize minutes pour mieux le faire exploser. Treize minutes n’est qu’un prétexte à un premier roman autonome, féminin, vénéneux, drôle, tendre et poignant en diable."

On en parle :

Un roman drôle et noir, résolument délassant.
Hélène Bienaimé, Têtu, mars 2007.

Ce jeune écrivain nous décrit une réalité acerbe en prenant soin d’éviter les clichés des ouvrages" guimauve "destinés habituellement à la gente féminine. Et c’est avec un réel plaisir que l’on découvre un univers rempli d’humour, de sincérité, d’émotion et de charme. Un drôle de cote de fées que l’on aime finir par croire…
Lou Menel, ça se passe comme ça, mars 2007.

On savoure ce marivaudage contemporain qui vire au drame criminel. (…) Marion sait déjà qu’il faut sauver les jolies images et les moments de grâce de tout cela. Murielle Renault le fait à sa manière. Nicolas Rey doit être fier de son émule. On le comprend.
Christian Authier, Le Figaro littéraire, février 2007.

Trempez une chipie sexy dans une histoire d’amour, il en sort ce roman féroce, d’une méchanceté tordante, un précipité de vérités grinçantes, de tendresse et d’humour.
Jean-Michel Ulmann, Impact-médecine, février 2007.

Il en résulte une tout autre histoire, drôle, féminine, et brutale, comme à chaque fois qu’il faut dire la vérité sur les contes de fées.
Astrid Eliard, Point de vue, février 2007.

L’idée est belle. Et fichtrement originale. (…) Magré les faits restés les mêmes, c’est une tout autre histoire, un autre roman, d’autres émotions, d’autres sourires. Le romantisme des filles serait-il mort et enterré? Pas si sûr…
Laurent Fialaix, Questions de femmes, février 2007.

Marion est une super chipie sexy. Les femmes l’aimeront très vite tant elle pourrait leur ressembler.
Tendre et empoisonneuse, enjôleuse et emmerdeuse, elle les fera rire de leurs travers et de leurs forces grâce à des expressions tordantes, des jeux de mots à se rouler par terre, des situations hilarantes qu’elle décrit d’un humour féroce, des dialogues et des questions pleines de fiertés et de lâchetés, si vraies, que le sexe féminin appréciant l’autodérision ne pourra que s’y retrouver.
Pascale Arguedas, Calou, l’ivre de lecture.

Dans une veine assez chick lit, le style en plus, Murielle Renault relève le défi de ce roman en forme d’exercice de style (où les chapitres, dont elle a conservé les titres originaux, font miroir à ceux de la version signée Nicolas Rey et où surgissent parfois certains dialogues originaux -en italique- de Treize minutes) avec un ton très alerte, vivant et un humour tout en malice, évoquant avec légèreté les doutes ou les petites hontes d’une jeune femme moderne partagée entre ses envies d’indépendance et sa vie amoureuse.
Alexandra Bisset, Buzz.littéraire.

Simon et elle, c’est une aventure en pointillés, un amour pas vraiment consommé, un véritable amour ? Non, pas dans le sens romantique, ni par rapport aux contes de fées. D’un autre côté il y a Antoine, strict, déterminé et protecteur, la valeur sûre… (plaît-il ?). Voilà ce qui permet à Murielle Renault de rebondir avec son " Enfin la vérité sur les contes de fées ", où elle nous démontre avec un enthousiasme débordant que les histoires d’amour sont très, très compliquées, que les filles d’aujourd’hui veulent de l’amour avec légèreté et distance, et qu’il ne faut surtout pas les considérer comme des fleurs bleues," ces pâles imitations du romantisme, le vrai, sombre et beau ".
Clarabel.

La jeune fille est promue héroïne d’un récit aussi vivant que typiquement féminin. Tergiversation sentimentales, volonté d’indépendance, expériences sexuelles plus ou moins conventionnelles, virées nocturnes: le lecteur se croirait parfois plongé dans un des épisodes de Sex and the City.
Julia Dubreuil, La Gazette du Nord-Pas-de-Calais, janvier 2007.

Lire la chronique d’Ariane Schwab sur izdi.com.