L’Échappée belle

Découvertes

ISBN: 978-2-84263-756-9

Genre: Roman

Date de parution: 04/11/2009

Nombre de pages: 216

Couverture : © Guido Maria Ratti

Prix: 10€

L’Échappée belle

Découvertes

Simon, Garance et Lola, trois frère et sœurs devenus grands (vieux ?), s'enfuient d'un mariage de famille qui s'annonce particulièrement éprouvant pour aller rejoindre Vincent, le petit dernier, devenu guide saisonnier d'un château perdu au fin fond de la campagne tourangelle.
Oubliant pour quelques heures marmaille, conjoint, divorce, soucis et mondanités, ils vont s'offrir une dernière vraie belle journée d'enfance volée à leur vie d'adultes.

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Résumé :

C’était en 2001, je venais à peine de terminer la rédaction de Je l’aimais quand France Loisirs m’a commandé une histoire. Un cadeau pour leurs fidèles adhérents.
Comme j’étais toute courbaturée (baby-blues du manuscrit à peine envolé et tout le cinoche habituel de l’auteur en manque de ses personnages), j’ai décidé de me remonter le moral en troussant fissa une petite cavale légère et court vêtue.J’écrivis donc cette escapade champêtre. Une journée gaie, tendre, bruyante, en compagnie de frères et soeurs qui enterrent leur vie d’enfants. Des gloussements dans l’habitacle, des jurons, beaucoup de mauvaise foi, de l’herbe, des aoûtats, des bouteilles de sancerre au frais et de la bonne musique tout du long (de Dario Moreno à Kathleen Ferrier en passant par Bambi et Patachou, de la pure compil’).
Je rendis ma rédac’, les fidèles eurent leur petit Noël et je passai à d’autres rêveries.Sauf que, depuis 2001, chaque fois que je vais à la rencontre de lecteurs, il y a toujours un moment où l’on me demande quand ce fichu texte sera enfin réédité. Quand ? "Bah, j’élude dans le vague, un jour, peut-être…" J’en restais là. Je craignais que ça sente un peu le rossignol, cette idée de faire un livre neuf avec un autre qui existait déjà. Enfin, vous voyez le genre… Le genre de ce genre de pudeur-là… Seulement l’année dernière – Consolante oblige – je me suis vraiment échappée moi aussi, dans des dizaines de librairies de Lille à Toulouse en passant par Vannes et Aubervilliers et, chaque fois, toujours, cette même question revenait sur le tapis. En plus maintenant y avait Internet, et le texte était devenu hyper-cher, et c’était nul ce truc de spéculation, et ma voisine qui ne veut plus me le rendre et tout ci et tout ça.
Dans les derniers tours de ce marathon, je fis une ultime causette en médiathèque et là, assise au fond, à ma gauche, je m’en souviens, une dame qui n’avait rien manifesté ni posé aucune question a levé le doigt comme à l’école au moment où les chaises raclaient le signal du départ, m’a regardée droit dans les yeux, m’a tenue en joue et m’a intimée gentiment, mais fermement, de libérer enfin cette fratrie en goguette.
Parce que non, pas eux, ça ne leur ressemblait pas du tout d’être ainsi confinés, cotés, happy fewisés, éloignés, tenus.
Tenus à distance. Distants.
Alors j’ai promis et lui ai demandé son prénom.
Je suis revenue à la maison, le temps a passé et les promesses aussi. Et puis l’autre jour j’ai emprunté son exemplaire à ma voisine, justement. Je me suis relue, j’ai ricané de bon coeur, j’avais oublié toutes ces bêtises, j’avais tout oublié. J’ai repris le texte, je l’ai retravaillé (à la manière d’une qui restaurerait son tableau : rentoilage, retouches, éclat des couleurs, jeux d’ombre et de lumière), j’ai choisi les grains de riz de la couverture et j’ai écrit un prière d’insérer pour cette main levée.
Pour Françoise. Françoise de Montpellier. Pour qu’elle sache que je ne l’avais pas oubliée.

Anna Gavalda.

 

PS : Ce petit livre n’a pas d’autre prétention que de vous inviter à partager ce pique-nique.
Entre gens qui s’aiment, et qui aiment la vie. Je me suis fait plaisir ! J’ai ajouté un chapitre à la fin !
A.G. (mai 2012)

On en parle :

Il y a son ton, son swing, sa patte. Dès l’entame de ce petit roman délicieux, on retrouve le charme et le naturel inimitables d’Anna Gavalda. Son héroïne est une fille qui joue au poker, dit ce qu’elle pense, n’a pas de trousse de toilette et s’est acheté un sari. Garance a deux frères, Simon et Vincent; une soeur, Lola, qui est aussi sa meilleure amie ; une belle-soeur, Carine, "super-chieuse". Tout le monde doit se retrouver en famille pour un mariage. Ce qui promet une joyeuse pagaille ! Anna Gavalda, on le sait depuis Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part, capte la vie, les êtres et les sentiments comme personne. L’Échappée belle est un parfait condensé de son art.
Alexandre Fillon, Le JDD, 10 juin 2012


"Je n’ai pas "choisi" l’écriture. Disons que c’était la matière où j’étais la moins nulle." A.G., Entretien
L’écriture d’Anna Gavalda est un idéogramme de l’émotion et se rêve en instance de contrôle du lecteur. Autrement dit, elle ambitionne de fouiller les tripes, avec plus ou moins de succès selon qu’on apprécie ou non ses choix narratifs. Ses histoires sont accessibles et prêtes à être dévorées. Le rapport qu’elle cherche à instaurer entre le lecteur et le récit est gustatif, presque vital ; un page-turner à la française. Après avoir mêlé la langue parlée à la langue écrite, elle greffe celle qui goûte. En un sens, c’est une conjugaison des langues.
Rémi, Like a Rolling Stone, 2 avril 2011

Je n’ai pas "allongé" le texte, je l’ai simplement un peu étoffé en donnant plus de profondeur à mes personnages: un geste, une réflexion, un
détail…

AG, Entretiens Elle Québec, mars 2010

Anna Gavalda signe ici un délicieux ouvrage, d’une plume alerte, vive et drôle, truffée d’argot à tire-larigot.
Apolline Elter, L’Événement (Belgique), février 2010

L’Échappée belle, cinquième roman d’Anna Gavalda est frais comme une brise légère, sucré comme une sucette Pierrot Gourmand et truculent comme un vieux sketch des Nuls…
Anne Bouillis, Agoravox, 27 janvier 2010

Quel plaisir de retrouver mon Anna Gavalda, son écriture limpide, ses mots justes, ses descriptions des situations si précises! De savourer à nouveau sa manière de tirer parti d’une petite anecdote pour bâtir une histoire charmante!
Marie-Hélène Zanni-Saridaki, Les Nouvelles de Tahiti, 9 janvier 2010

Ca pétille d’impertinence et de joie de vivre, d’enfance prolongée et d’irrésistible liberté.
Marie Claire
, Février 2010

Cette virée déjantée conjure les pires désenchantements, allumant mille petites lumières au cœur de l’hiver.
France Cavalié, Télé 7 Jours, 22 décembre 2009

Nous vous indiquons ci-après les meilleurs moments de l’émission de radio de France Inter, Le Masque et la Plume du 20/12/2009 :
"– Arnaud Viviant : J’aime Anna Gavalda. (…) C’est une styliste. C’est un écrivain de la population.
– Jean-Claude Raspiengeas : Après La Consolante, j’ai beaucoup de gratitude pour Anna Gavalda. (…) Ce qui est beau dans ce texte, c’est l’adieu d’une fratrie à l’enfance.
– Olivia de Lamberterie : J’aime Anna Gavalda. Elle va partout, dans toutes les librairies. Elle rencontre vraiment les gens. (…) Gavalda, c’est Sagan. Elle aime les gens; c’est une littérature de personnages; des antihéros, qui ont tous de l’autodérision en eux. Et on retrouve sa critique de la bourgeoisie.
– Patricia Martin : J’aime Anna Gavalda. Avec elle, dans la vie, il y a toujours un moment de rattrapage possible. Des dialogues pris sur le vif, des instants vrais, c’est plein de fantaisie, de charme.
– Jérôme Garcin (modérateur) : Une émission d’anthologie. L’Échappée belle, conseillé par tous les critiques du Masque et la Plume.

Ce que je privilégie chez elle, c’est son aptitudeà la dénonciation tendre, à la mise en pièces de ce que l’adulte, l’âge adulte jouent comme rôle et comme comédie. Anna Gavalda est un grand écrivain du singulier et du pluriel, de ce qui rassemble et de ce qu’on regrette, des blessures qu’on guérit et des fêlures invisibles mais tenaces. Elle est notre J.D Salinger : avec moins de bizarrerie, plus d’empathie.
Philippe Bilger, le blog de philippe bilger, 26 décembre 2009

Un cadeau unique et à apprécier sans modération que nous offre ainsi Anna Gavalda.
Martine Galati, Le Dauphiné libéré, 25 décembre 2009

Un roman sensible, drôle et plein de fraîcheur, hommage aux fratries heureuses et aux petites choses de la vie inscrites en nous pour toujours.
L’Est-éclair,
20 décembre 2009

Douceur et fantaisie : les pages s’enchaînent, c’est faussement simple, cousu main, léger. Parfois, en deux phrases, vous réussissez à plomber l’ambiance, dans l’habitacle de cette voiture, la vie se charge soudain de nuages noirs, l’orage éclate et le ciel redevient bleu dans la seconde d’après. Avec vos dialogues affutés comme des mines de crayons de couleurs, vous dessinez les contours de personnages qui pourraient être nous. Le journal de Nathalie Six, 18 décembre 2009

Un court roman sonate qui vaut mille fois certaines lourdes symphonies romanesques clinquantes.
Jean-Rémi Barland, La Voix du Luxembourg, 11 décembre 2009

Doux et chaud comme un duvet, l’anti-migraine assuré.
Barbara Lambert, Point de vue, 16-22 décembre 2009

Mais ce qui est étrange avec Anna Gavalda, c’est qu’elle piétine ces jouets et ces souvenirs par de brèves remarques. Parfois cinglantes. Elle a la volonté de décrire le bonheur puis de le flinguer.
ACDL, Aucoindulivre.fr

Anna Gavalda se dévoile enfin.(Entretien)
Marie-Ève Wilson-Jamin, France Soir, 11 décembre 2009

Anna Gavalda s’accorde une escapade fruitée et légère comme un vin de Loire. À l’écoute des deux sœurs très" Demoiselles de Rochefort ", cette Échappée belle cousine joliment avec l’univers de Jacques Demy. Quelques grammes de douceur passés en douce.
Frédérique Bréhaut, Le Maine Libre, 6 décembre 2009

Cette escapade de galopins trentenaires est un bonbon. Acidulé et piquant comme ces soucoupes qu’enfant, on achetait à l’unité dans les bureaux de tabac.
Sylvie Metzelaert, Marie France, janvier 2010

La pastille Gavalda
La
Gavalda touch, au fond, c’est ça : un élixir contre le renoncement, les rendez-vous manqués, les à-peu-près de la vie sentimentale, contre le sens du devoir quand il écrase la vie. (…) On a tous quelque chose en nous de Gavalda.
Anne Crignon, Le Nouvel Observateur, 10 – 16 décembre 2009

L’Échappée belle est une réussite, une belle histoire sympathique qui vaut vraiment le détour. Les personnages sont attachants, les mots nous touchent, et en plus c’est drôle. A ne pas rater.
Pratis.com

On savoure Anna Gavalda
Un charme fou, des dialogues qui fusent, de la fantaisie, de la chaleur, de la simplicité, ce livre se rapproche d’"Ensemble, c’est tout". Une ode à l’enfance et à la famille qui va vous émouvoir et vous enchanter. Dégustez-la pour patienter en attendant le prochain livre de cette magicienne.
Anne Michelet, Version Femina, 7-13 novembre 2009

À déguster sans modération.
Corinne Bourbeillon, Ouest France, 22 novembre 2009

On retrouve l’art et la manière d’Anna Gavalda, ce ton primesautier où la gravité s’invite discrètement entre les lignes, ce mélange de gaieté lumineuse et de douce mélancolie. Puis, dans un, paysage littéraire hexagonal trop souvent occupé par le cynisme et les postures, la romancière ose le premier degré et la sincérité.
Christian Authier, L’Opinion indépendante du Sud Ouest, 20 novembre 2009

Un petit bijou que cette Échappée belle. Brillant et drôle. Comme une récré dans l’œuvre d’Anna Gavalda.
L’Écho Républicain, 15 novembre 2009

Observatrice des petits riens, des cabossés de la vie, Anna Gavalda écrit aussi pour les gens qui n’aiment pas lire.
Fabienne Faurie, La Montagne, 14 novembre 2009

Un charme fou, des dialogues qui crépitent comme des sarments dans la cheminée, avec en fond sonore Dario Moreno ou MC5. Il y a là-dedans de la fantaisie à revendre et juste ce qu’il faut de détresse.
Éric Neuhoff, Madame Figaro, 14 novembre 2009

La plus discrète des auteurs de best-sellers est de retour. Avec L’Échappée belle, elle montre une nouvelle fois sa délicieuse singularité et sa légèreté aérienne. Joli comme un film de Renoir.
Nicolas Ungemuth, Le Figaro Magazine, 14 novembre 2009

Les émotions de l’époque sont intactes; en les imaginant vivre “leurs dernières tartines d’enfance”, on s’en lèche les doigts. Qu’il fait bon se laisser emporter sous ce ciel bleu, quand, dehors, les nuages sont si bas.
Emmanuelle Latouche, La Voix du Nord, 12 novembre 2009

Ce tout petit livre est un extraordinaire concentré de souvenirs, de liens tissés entre frères et sœurs, une madeleine de Proust trempée avec truculence et émotion dans le vivier de l’enfance, de l’adolescence et du temps qui passe. En nous parlant de la vie, de nos vies, avec une simplicité trompeuse, la plume d’Anna Gavalda est irrésistible. Le curseur frétille entre rires et larmes. Oh, comme ça fait du bien!
Tatiana de Rosnay, Le Journal du Dimanche, 8 novembre 2009

Et Gavalda de parvenir à ce qu’elle sait faire de mieux : par le biais de personnages marginaux à l’enfance en bandoulière, une joyeuse critique de notre société de consommation et des grincheux de tout poil? Ici, on ne se prend pas au sérieux, on a des fous-rires le temps d’un pique-nique et l’on adopte les chiens errants. Une antidote à la grisaille ambiante.
Virginie Jannière, Direct Matin Plus, 9 novembre 2009

Pour lire l’entretien de La Dépêche avec Anna Gavalda, cliquer ICI

Une histoire qui se dévore d’une traite et dans laquelle on a parfois l’impression de faire partie de cette famille. C’est là tout l’art de l’écriture d’Anna Gavalda.
Mathieu Henon, Le Mediateaser, 8 novembre 2009

Anna Gavalda sait très précisément quel ton adopter pour nous raconter ses histoires. Légèreté, drôlerie, tendresse, tout ce qui manque si fort à notre monde actuel, elle nous l’offre en quelques pages.
Sylvie Lainé, L’Indépendant, 7 novembre 2009

Une écriture extrêment simple au service de personnages bien croqués.
Laurence Patri, Biblioblog, 6 novembre 2009

Rafraichissant
Championne d’une écriture au naturel, de dialogues sans chichis, presque sonores, Anna Gavalda effeuille bien autre chose qu’une bluette. Dans sa pétillante fraîcheur de vivre, elle glisse ce qu’il faut d’extraits d’orange amère, esquisse les bonheurs et leurs ombres, les rêveries et leurs ratés. Gavalda n’a jamais été aussi dilettante. Jamais aussi “gavaldesque”.
Pierre Vavasseur, Le Parisien, 6 novembre 2009
L’entretien du Parisien avec Anna Gavalda

Le style enjoué, léger, bourré d’humour et de gravité mêlés, de l’auteur fait désormais partie d’un paysage littéraire soudain chatoyant.
Christian Robin, Courrier français, 6 novembre 2009

Une belle parenthèse signée Anna Gavalda
C’est à regret que l’on tourne la dernière page sur laquelle est écrit :" Fin de la récréation ".
Elsa Berst, Direct soir, 5 novembre 2009

Une comédie du bonheur qui ne trompe personne, comme l’ultime élégance que l’on doit à la vie.
Geneviève Welcomme, La Croix, 5 novembre 2009

L’Échappée belle est un livre drôle, optimiste et plein de vie. C’est un texte pétillant comme un vin de Loire, frais à consommer sans modération.
Thomas Coutenceau, La Lettre du libraire, novembre 2009

Un concentré" gavaldien "
L’Échappée belle est un concentré du genre prisé par la dame, une petite leçon de vie dite avec l’air de ne pas y toucher, une réflexion sautillante sur le temps qui passe, una antidote à la gravité qui sera accueilli comme tel. C’est charmant et foutraque.
Françoise Dargent, Le Figaro littéraire, 4 novembre 2009

Court et dense, drôle et sentimental en diable, l’opus fait son poids plume de 160 pages, encore plus friandise qu’à l’habitude.
Marie Chaudey, La Vie, 5-11 novembre 2009

L’Échappée belle est une fantaisie qui fleure bon la famille, celle qui s’élit, la spontanéité espiègle et la joie vivante. Un pur Gavalda, simple et généreux.
Karine Papillaud, Le Point, 5 novembre 2009

Pour lire l’entretien de parutions.com avec Anna Gavalda, cliquer ici

Un grand bol d’air
Anna Gavalda nous rappelle que dans tout voyage, l’itinéraire importe plus que la destination. (…) Calme mais souvent sarcastique, simple mais poignante, la voix de la narratrice est ce chuchotement, comme un secret dit à l’oreille du lecteur. Une échappée belle, oui, et un livre lu comme on prendrait une bouffée d’oxygène.
Samantha Joustra, parutions.com, 4 novembre 2009

Un vrai petit bijou que cette échappée belle…
Le Berry républicain,
4 novembre 2009

Un petit texte plaisant, rigolo, joliment troussé dont les personnages et les situations nous parleront instantanément et qu’on aura plaisir à conseiller, à offrir, à se prêter car cette échappée belle donne la pêche.
Christine Salles, Pscychologies, 3 novembre 2009

Enlevé et sans façon, gavaldien jusqu’aux rabats du livre, L’Échappée belle entraîne le lecteur dans un monde qui n’est ni mièvre ni naïf, mais où il est question de vivre, d’aimer, de rire et de pleurer aussi. L’essentiel, somme toute.
Karine Papillaud, 20 minutes, 2 novembre 2009

Dans ce court récit, la nostalgie des verts paradis d’autrefois perce sous les fous-rires de vieux gamins blagueurs.
Bruno d’Épenoux, Télé Z, 2 novembre 2009

Avec trois fois rien, les petites histoires de l’air du temps, une famille, deux sœurs et deux frères, des souvenirs à la pelle et une grosse envie de sourire à la vie, Anna Gavalda nous confectionne une petite sucrerie…
Benoît Vochelet, Paris Normandie, 1er novembre 2009

On sourit, on pleure, on rit, on embrasse… Qu’est ce que ça fait du bien parfois de ne pas trop se prendre la tête !
Rémy Jocelyne, Le Journal de Saône et Loire, 1er novembre 2009

L’Échappée belle est une petite bluette qui fait du bien.
Cunéipage, 31 octobre 2009

Une bouffée d’air
La petite dernière est irrésistible de drôlerie, de tendresse, de vacherie aussi. Un divertissement, une bouffée d’air, une respiration que la romancière compose d’un pinceau léger.
Michel Vagner, L’Est républicain, 31 octobre 2009

Ce roman, écrit au départ pour France Loisirs, épuisé, longtemps réclamé et retravaillé pour sa sortie en librairie, est une véritable bouffée d’air frais, dans lequel toutes les fratries (enfin, celles où l’on se parle encore !) se reconnaîtront.
Pascale Frey, La Tribune de Genève, 31 octobre 2009

Un joli récit ma foi, gouleyant à souhait, canaille comme tout, comme Gavalda sait l’être quand elle laisse filer sa plume au gré de son humeur primesautière.
Delphine Peras, Lire, novembre 2009

Imaginez un livre qui fait briller les yeux et qui, en même temps donne des ailes, un vaccin anti-grippe-grisaille-grincheux. Si le cœur vous en dit, suivez cette Échappée belle de quatre tocards magnifiques –deux frères, deux sœurs – qui sèchent un mariage plombé d’avance pour enterrer leur vie d’enfants. On en sort comme d’une virée avec des amis, grisé de fous rires et de chagrins de passage, de musique et d’envies. Galvanisé. Gavaldisé!
Olivia de Lamberterie, Elle, 30 octobre 2009

L’Échappée belle, n’est pas un roman mais une histoire presque vraie! Voilà ce qu’est ce nouveau livre de cette auteure qui à chaque fois nous fait vivre un moment fort par son écriture.
Obiwi
, 23 octobre 2009

Une pastille Gavalda pour l’hiver
Plus fort que le vaccin antigrippe A ! il y a de tout, dans ce petit livre épatant : de l’émotion, de la satire, un rien de gravité et beaucoup de drôleries.
Daniel Garcia, Livres-Hebdo, 16 octobre 2009