Derniers rendez-vous au métro Saint-Paul

Découvertes

ISBN: 978-2-905344-91-5

Genre: Nouvelles

Date de parution: 01/09/1995

Nombre de pages: 160

Couverture : Anne-Marie Adda

Prix: 14.48€

Exemplaire du tirage de tête: 58€

Derniers rendez-vous au métro Saint-Paul

Découvertes

Dernier arrêt de la trilogie dans le petit monde désuet, grouillant, buvant, papotant, criant, pleurant, dont Fleischman bouscule les convenances, se moque tendrement.

On en parle :

L’humour de Cyrille Fleischman est un enchantement.. De recueil en recueil, toujours avec le même sens de la dérision et le même art des atmosphères; il a été l’arpenteur inlassable de ce quartier de Paris et le conteur du petit peuple juif du Marais de l’entre-deux guerres et après la seconde guerre mondiale, avec ceux qui avaient survécu.
Josyane Savigneau, Le Monde, 25 juillet 2010

Les personnages sont touchants, attachants et toujours drôles.Cyrille Fleischman n’hésite pas à bousculer les convenances, à se moquer de tout ce petit monde très désuet, grouillant, buvant, papotant, criant, pleurant. Ces courtes histoires ont les charme des récits d’enfance où les petits drames s’évaporent vite, ne laissant en mémoire qu’une indélébile trace, toute d’humour et de tendresse.
Martine Laval, Télérama

Ses nouvelles sont des souvenirs d’enfant, des anecdotes réelles ou imaginaires devenues, par la grâce d’une écriture fine et drôle, des récits tendres et insolites.
Étienne Sorin, Zurban.

Les amateurs de nostalgie, d’ironie tendre, les amoureux d’un Paris disparu, où, du côté de l’Hôtel de Ville et du métro Saint-Paul, on plaisantait en yiddish tout en incitant les nouveaux arrivants à parler" en français ", devraient tous lire Cyrille Fleischman.
Josyane Savigneau, Le Monde.

Cyrille Fleischman a beaucoup de tendresse pour ses bonshommes pittoresques, des silhouettes que Marcel Aymé n’aurait pas désavouées. Ses histoires n’ont pas de vrais commencements ni de vraies fins. Elles sont des instants de vie. Juste une série de petites complications qui dessinent les caractères.
Alfred Eibel, Le Quotidien.

Il faut à coup sûr le regard aiguisé de Fleischman, son talent de conteur pour mettre en valeur, en vedette même, les habitants d’un monde aussi étonnant que pittoresque dont il fait l’inventaire avec un humour mêlé de tendresse.
Chloé Radiguet, Bonne soirée.

Chacun de nous se souvient des petites histoires de son enfance. Fortes en émotions, elles nous ont marqués surtout par l’impression si particulière qu’elles faisaient naître en nous. En lisant les livres de Cyrille Fleischman, vous retrouverez ce plaisir simple du conte. Parfois fantastiques, souvent drôles, toujours émouvantes, les petites histoires de Cyrille Fleischman, en plus, auraient bien pu nous arriver, ce qui n’est pas leur moindre luxe.
Eglantine Simon, fluctuatnet.com.

Quant au lecteur, avec ce style alerte qui ne songe qu’à rebondir comme pour mieux le surprendre, avec ces courtes nouvelles qui sautillent sur quelques pages comme pour ne pas le lasser, il rit, et de bon cœur. Un rire aussi léger que ce recueil.
D.G., Le Matricule des Anges.

L’auteur décrit avec tendresse et cocasserie ces drôles de personnages en des tranches de vie qui mêlent l’humour à la poésie, la fatalité à la légèreté.
S.L.F., Le Figaro.

Le trait est fin, délicat. Le ton léger, toujours àa la drôlerie, mais avec ce fond de tristesse qui fait la particularité du genre. Bref, c’est à ne pas rater!
Daniel Martin, La Montagne.

La corde vibre en français mais le violon est yiddish. D’où l’humour, la tendresse, la loufoquerie tranquille, sublimement associés, ont un charme magique.
Jean David, VSD.