Le Plombier kidnappé

Redécouvertes

ISBN: 978-2-84263-116-1

Genre: Traduction

Date de parution: 05/11/2005

Nombre de pages: 160

Couverture : dessin de Glen Baxter

Prix: 14€

Traduit de: Anglais (Canada)

Le Plombier kidnappé

Redécouvertes

Huit nouvelles parodies loufoques qui passent à la moulinette tous les clichés de la littérature populaire.

Résumé :

Cela s’appelle mettre ses pieds sur la table, la table familiale dignement servie lors de l’anniversaire de l’aïeul, s’épousseter les chausses avec la nappe d’autel de la messe littéraire ou pousser Victoria dans les orties. C’est selon. Ce punk hilare de Leacock jongle, plein d’une roborative malice, avec ces bijoux de famille que sont " les bonnes vieilles histoires ", ces " Tales " inoxydables, codifiées des guêtres au pince-nez, modèle d’imprévision distinguée et délices du circuit fléché. Il vous ébouriffe tout cela et taille le caniche au sécateur, Harpo Marx avec une perruque de juge. C’est Holmes travesti en chien qui ouvre la marche, lui emboîte la pipe, une valse décalée de guéridons parapsychiques, une pochade vernienne à base de naufrage, le mystère de la chaudière éteinte, une histoire de la guerre de Sécession, un imputrescible récit de frissons et de manoir en T et affaires de familles.
Beau comme la rencontre prévisible sur un green de Gladstone et King Kong.

On en parle :

Stephen Leacock a l’art de la chute et du retournement de situation. À découvrir de toute urgence! (À condition d’aimer rire à gorge déployée!)
François Alquier, Virgin!

L’humour est fin, enjoué, et non gras ou vulgaire comme on en croise si souvent. On sent bien l’intelligence de l’auteur derrière ces histoires si bien construites. N’hésitez pas plus longtemps, vous allez vous amuser!
Anne-Catherine d’Espies, Evene.fr

Le jeu consiste à faire, preuves et images à l’appui, et si possible avec humour, la parodie des styles littéraires les plus populaires. Et Stephen Leacock excelle dans cet exercice de style.
Jocelyne Rémy, Le Bien Public

Stephen Leacock a l’art de trousser des histoires saugrenues et souvent intemporelles de sorte qu’en dépit de leur ancienneté elles n’apparaissaient pas démodées.
Notes Bibliographiques.

L’absurde étant l’une des épices qui siéent le mieux à l’humour, on goûtera donc avec une délectation béate quelques morceaux choisis du Canadien Stephen Leacock.
Le Républicain Lorrain

Ces textes datent du début du siècle, mais le plaisir et le rire qu’ils déclenchent n’ont rien de daté. À tel point qu’il serait criminel d’en dévoiler la trame!
Sandrine Poissonnier, Le Havre Libre.

Après L’Île de la tentation, l’éditeur se propose de nous désopiler la rate avec la traduction d’autres nouvelles du" Mark Twain canadien "Stephen Leacock, qui s’attache ici à la réécriture de ces bonnes vieilles histoires narrées par l’oncle Paul, au coin du feu, en tirant sur sa bouffarde, les inusables " tales "anglo-saxons fleurant bon le tabac blond, le vieux tweed humide et les pantoufles usées.
Dominique Durand, Le Canard enchaîné.